Victor HUGO Spirit

"Pourquoi nier l'évidence ? Oui, il est naturel que les esprits existent ." Dixit Hugo ...Victor de son prénom...Petit bouquin choppé sur l'étale d'une vielle brocanteuse ,il y a longtemps déjà.... Quand sa fille Léopoldine décède Hugo est inconsolable ..Ce qui pour un homme de l'époque est déjà pas mal niveau "sensiblerie" ....léopoldine ne décède pas d'une overdose de Chloroquine ....mais morte noyée avec son jeune époux qui ne supportant pas de ne pouvoir ramener sa jeune femme a la surface au bout de 6 descentes ou 8 descentes..quand on aime on compte pas ..Décidât comme il ne pouvait pas vivre dans cette vie ou cet univers avec elle,de ce laisser mourir noyé a son tour...Et oui Tinder n'existait pas encore,et les relations était peut être un peu moins consommable..Ou comme le disait le grand philosophe Dewey "toi tu vie ,toi tu crève".Ou peut être que l'époque était propre a un romantisme des plus profond...Attend je vais regarder sur Google ..
.Bref le père Hugo,lui est atteint d'un romantisme pluriel....ouai ouai!! C'est un peu interdit a l'époque ..mais ca va quand même(oui toi tu baigne dans le polyamour et tu surkiff )..Donc le mec est avec mademoiselle sa Maitresse je sais plus si c'est a Rochefort ou a La Rochelle au Café de l’Europe ....Je suis sur que c'est au café de 'l Europe car c'est le nom de mon groupe de musique préféré .(c'est fauxxx)ils ont eu leur petit success dans les années 80...
.We're leaving together,
But still it's farewell
And maybe we'll come back
To earth, who can tell?
I guess there is no one to blame
We're leaving ground (leaving ground)
Will things ever be the same again?
It's the final countdown
The final countdown...Ses paroles pour Hugo pourraient être interprété comme un signe..... Mais Europe n’était pas encore formé ..donc ca n'a pas de sens ...Putain j'en suis ou moi? Ha oui,donc il est a ce fameux café,soit 4 jours apres il apprend le décès de sa fille chérie,pas par texto ni par BFMTV...Mais par un Journal dont j'ai bouffé le nom (en tt cas c'est pas l'Aurore ..ca c'est Saez(Comprendra qui pourra cette blague) ...Parce-que le mec a l'époque il pèse dans le game.....A partir de ce moment la ,il est pas en kiff ...Surgiront des blessures de cet être si nécessaire a la France ... des poèmes adressés en post a son enfant... notamment le fameux .."demain des l'aube". Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps....
Un autre de ses poèmes consacrés dit " Un ange souriant portait la gerbe d’âmes "....Moi j'aurais pas écrit ca comme ca...Mais il a quand même fait tt le boulot..Donc après ca l’écrivain inconsolable ce plonge sur un moyen de contacter cette enfant perdu...En 1853 on apl ca les sciences nouvelles ...plus tard nommé spiruline .....non pardon SPIRITiSME ...Quel fut ma surprise de voir notre cher Hugo parler dans ce livre des discours halluciné ou non avec Shakespeare;Jesus Mohamed...., Bon il est tant pour moi que je sortir mon chien nommé Corod19 en leggings bleu ciel pour aller Yogger comme un connard ....Non je déconne !!! Je préfère en ce temps de confinement me nourrir l’âme de ses petites choses improbables sur un père de la France ..Ce bourgeois éclairé qui a écrit ce poème que j'ai appris par cœur pendant mon voyage initiatique et quasi mystique en "stop" d’Angoulême a Dakar(le mec ce la pète!!...attend je me pete encore plus je l'ai fais 3 fois depuis ) y a plus de 10 ans déjà.... "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,
Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,
Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime,
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour......
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins,
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas.Le sombre accablement d’être en ne pensant pas.
Ils s’appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N’a jamais de figure et n’a jamais de nom ;..Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids, sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s’écroule en nuage ;
Ceux qu’on ne connaît pas, ceux qu’on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L’ombre obscure autour d’eux se prolonge et recule ;
Ils n’ont du plein midi qu’un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit........".Il y aurait tant a dire encore ......Donc en ce petit temps de crise je vous conseil de soigner vos souvenirs ......Hein qu'es que tu dis Victor? Il me dit de vous dire qu'il a a fait cet période spirit pendant son confinement a Jersey a cause d''un coup d'état de je sais pas qui sur quoi....Il me dit que c'est coup d'état de Napoleon 3....Et que quand on et mort y en a encore?pirit

Très joliement écrit Duke, mais je doit avouer je préfère Poe.

A ta santé!

Sinon quel rapport avec Poe?
Hugo, c'est par lui que je me suis convaincu que la lecture des classiques est loin d'être une perte de temps, contrairement aux visionnages de séries douteuses comme la casa de papel, ahah! (parce qu'elle m'a fait pensé à death note j'ai regardé toute la saison 1). Bon d'accord, mais je reconnais que décompresser de cette manière ou avec un verre de sky est nécessaire parfois, on ne se déprend pas comme ça de la fange dans laquelle on est bercé.

"Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre." là j'ai douté que ça vienne du Duke ^^
Hugo! Abordé par les misérables, lecture commencée maintes fois, pour finalement le lire de bout en bout et de m'émerveiller de pages en page de ce roman poétique. Même les digressions, avec une certaine disposition d'esprit en ce qui me concerne, comme la patience, la curiosité, la certitude de lire de la qualité, se lisent avec intérêts.

Citation :

Je préfère en ce temps de confinement me nourrir l’âme de ses petites choses improbables sur un père de la France

D\'accord avec toi
Prendre le temps de lire est appréciable et enrichissant. C'est comme apprécier de prendre le temps d'un rasage au coupe-chou, le temps de le préparer aussi, sur la pierre ou sur le cuir. Un temps qui ressemble à celui que l'on passe à méditer façon yoga et qui pue l'artificiel dans notre société qui ne fait rien de façon naturel.

"Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.
je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.
Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme
Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »
Et je lui fis donner une jatte de lait.
Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,
Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.
« Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre ,
Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations."
Le mendiant, V.H.

Désolé Jo, nous n'avons pas grandit avec les mêmes références, moi c'est plutôt shakespeare et poe, après libre au débat les meilleurs auteurs. Personnellement je n'ai pas vécu avec ces écrivains mais avec King, Gaiman, Poe, Shakespeare, entre autres. Donc pour dire je préfère Poe, ce n'est que mon avis personnel, libre à chacun.

La langue française est belle et plein de nuisances, certaines qui manquent à la langue de Shakespeare, car comme j'ai toujours dit est une langue de bâtarde, désolé les modérateurs, car c'est une mélange de différents langues, notamment l'allemand, français et espagnol, ce langue manque parfois de cruelle subtilité, mais renvoi directement au chose vrai.

Je laisse à votre interprétation ce vers de Poe,

Ton âme se trouvera seule,
Parmi les sombres pensées de la grise pierre tombale.
Personne, dans toute la foule, pour t'épier
A ton heure de secret :

Garde le silence en cette solitude,
Qui n'est pas l'abandon, car alors
Les esprits des morts qui étaient
Avec toi de leur vivant sont à nouveau,
Dans la mort, autour de toi, et leur volonté
Va te couvrir de son ombre : ne bouge pas.

La nuit, claire pourtant, se rembrunira.
Et, de leur suprême trône céleste,
Les étoiles n'abaisseront plus sur nous
Leurs regards pleins de lumière - espérance donnée aux mortels -
Mais leurs globes rougeoyants, sans un rayon,
Paraîtront à ta lassitude
Étre un feu et une fièvre
Qui voudraient s'attacher à toi pour toujours.

Voici, maintenant, des pensées que tu ne banniras pas,
Voici, maintenant des visions qui ne s'évanouiront pas,
De ton esprit elles ne s'en iront
Plus comme la goutte de rosée s'en va de l'herbe.

La brise - le souffle de Dieu - est au repos.
Et la brume sur la colline,
Pleine d'ombre - pleine d'ombre sans déchirure encore,
Est un symbole et un signe.
La façon dont elle s'accroche aux arbres,
Un mystère d'entre les mystères.

C'était une simple et vraie question, sans jugement aucun. J'aurais dû mettre un intervalle après mon point d'interrogation.

Jo, je ne l'ai pas pris comme un jugement. Je réponds à ta question avec intérêt car c'est les questions qui font avancer le débat. J'espère avoir répondu à ta question.

Ben tu préfères Poe ok (je ne connais pas, juste lu le scarabée d'or, et possède ses histoires extraodinaires auxquelles je trouve toujours un livre à faire passer avant elles)

Dan279 a écrit:

La langue française est belle et plein de nuisances, certaines qui manquent à la langue de Shakespeare, car comme j'ai toujours dit est une langue de bâtarde, désolé les modérateurs, car c'est une mélange de différents langues, notamment l'allemand, français et espagnol, ce langue manque parfois de cruelle subtilité, mais renvoi directement au chose vrai.

En fait je t'avoue ne pas avoir tout compris. Rien que de dire que la langue francaise est pleine de nuisance, ça m'échappe. Et tu lis l'anglish et notamment celui du temps Shakespeare?

Je suis Irlandais, l'anglais et l'irlandais sont mes langues maternelle. Le Français je l'ai appris ici même en France. Je suis arriver en France en 2004 à l'âge de 18 ans.

Pardon pour nuisances, je voulais dire nuances.

jo a écrit:

Rien que de dire que la langue francaise est pleine de nuisance, ça m'échappe.

Je pense que Dan voulait dire ;" nuances" (shades) et non nuisance

oups, sorry je n'avais pas vu ta réponse

Lol bon j'ai pas cherché bien loin non plus... je pensais que tu écrivais dans un état second comme the duke.
Il est des nôtres!