Moi qui ai un mal fou pour me rappeler des noms et qui suis obligé d’en inventer quand j’en parle (exemple la femme politique Nathalie Saucisson Mortadelle) ben un nom dont je me rappelle dès qu’on parle de pénis coupé c’est celui de Lorena Bobbit. Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire Lorena Bobbit avait coupé le sexe de son mari avec un couteau de cuisine pendant qu’il dormait. Elle s’était ensuite enfuie et avait jeté la quéquette par la fenêtre de sa voiture. Les policiers avaient fini par retrouver le morceau qui lui avait été recousue. Cette histoire m’a toujours fait marrer car je pensais aux flics américains à la recherche du braquemard en pleine nuit avec leurs puissantes lampes de poches, je suppose qu’ils n’avaient pas employé de chien pour la recherche du pénis car le chien aurait pu le confondre avec une saucisse et la béqueter.
Lors du procès elle avait argumenté que son mari passait son temps à se masturber et ne lui donnait pas de plaisir. Ce qui est bizarre c’est que l’argument avait dû porter car elle avait été acquittée mais avait quand-même passé 45 jours dans un asile psychiatrique. Quand au mari il avait tourné ensuite dans des films pornos pour financer son opération.