La réflexion profonde d'un mec sur le rasage: https://www.franceculture.fr/emissions/la-transition/ici-rase-pas-gratis
Une chronique aussi courte ne peut qu'aboutir à une réflexion superficielle (condensés de condensés de condensés...Bradbury). Vous allez me dire qu'on adapte le format à l'écoute du public, c'est à dire à l'homme pressé (pressé d'aller se parfaire par son boulot).
Le positif est qu'il a eu l'idée d'en venir au blaireau, avec du savon d'Alep...Positif aussi (en tout cas pour moi) sa conscience du gaspillage. Car c'est sur ce point que cette industrie dégénée et arriérée (c'est loin d'être la seule) va commencer à faire parler d'elle. Si la bien-pensance peut faire culpabiliser le péquin moyen, cette fois on va pas s'en plaindre. De là à freiner le bon gros populo dont la propension est plus à la régression infantile qu'à l'auto-discipline, l'élévation, etc, faut pas trop espérer.
Encore quelques années et peut-être qu'il en arrivera à envisager le coupe-chou, sauf s'il trouve que ça fait trop réac'. Il n'y a pas loin à associer la pratique du coupe-chou à l'air de l'éclairage à la bougie.