- Elrond a écrit:
- Dans ce cas qui jouera le role d'educateur ?
On est de plus en plus nombreux de plus en plus connecté et pourtant de plus en plus isolé, la cellule familiale pour mille et une raison est dispersée, la transmission du savoir entre les generations en patie, on le voit les jeunes mamans sont souvent perdu avec leur premier enfant là ou la gd mere aurait jouer sans probleme le role du docteur.
Le voisinage ?
Le coach sportif ?
Le medecin ? Il eduque j'en suis persuadé et c'est un de ses roles principaux, mais dans son domaine.
Le curé ?
Les medias, a l'heure ou l'acces a l'information est facilité ce qui aurait pu etre une aubaine est souvent un fleau, langage abregé, paresse dans le raisonnement, copier coller pour les devoirs, videos debilisantes, reseaux sociaux qui stigmatisent, télé realité, culte du corps, culte de l'argent...
Je suis exagerement pessimiste pour etayer mon propos mais je suis reellement inquiet.
Be moi j'éduque a ma facon......;;Je colle des baignes au toxico ..........A ceux qui insultes les petites vieilles.Au gros con qui fond les chauds "Hight t'as vue"
et qui fond les tendues en ecoutant leur musique sur leur portable de merde...
J'en ai encore calmé un hier..
Privilégiant les transports en commun,me rendant a l'Hopital au chevet de ....ma last Mohican gran mother.
Trois mec et une nana d'environs 25 ans casquette lacoste (des petit toubab'(blanc)ne cherchaient rien d'autre )
L'un deux sort tout fort pour faire le mec qui en as
"Moi je fume du shit et je vend du shit..Parfaitement."
Je me retourne vers lui...Je précise que j'avais quand même des écouteurs dans les oreilles avec la musique qui va avec...Donc ses branlouilles beuglaient plus que parler.
Le mec me voit me retourner;
"Parfaitement mec ,je parle de Shit"
J'ai enlever mes écouteurs des oreilles.
Je me suis levé
"Pardon ?
C'est a moi que tu parle?"
Il est devenu tout blanc...encore plus blanc que ca pauvre gueule d'origine.
Et a sorti cette pauvre phrase avec uen voix de gamin
"Heu non monsieur c'est a mon pote que je parle."
-"Je préfère"
C'est peut être une manière radical ........... ne pas fuir devant ses merdes.
Mais j'ai mes idées de la France et de l'humain en général.
Alors bien-sur il y a des risques mais bon...J'ai le physique de mes revendication..Même comme le dit mon père
"Un jour tu tombera sur plus fort que toi"..Il a raison.
Mais il est de notre devoir d'insoumission.
Et comme j'aime a citer ce poeme
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans noeud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans noeud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !..
V I C T O R H U G O