sympa

http://i.ebayimg.com/00/s/MTIwMFgxNjAw/z/W6MAAOSwBahVBFjl/$_57.JPG

il a beaucoup de potentiel ce MALAINGRE et STAURENGHI

C est interdit de mettre des annonces en cours à cause de ça quelque un me l à chippé

Annonce deja terminé quand j ai posté sur le forum fin de l enchère 21 h 14

j aurais dus mettre 50 et pas 47, du coup j ai pas gagné cette merveille

Effectivement très beau!

La trace rougeâtre est bizarre quand même!

Ah ouais, je l'ai vu celui la ! Très belle lame.
Mais à 45 en prix de départ, je trouvais ça assez cher.
Quelqu'un du forum l'a eu ?

Enchère gagnant a 47.50 pour cette magnifique lame je trouve pas si cher que ça, chasses en ivoire en parfait état, lame 7/8
Quand on voit qu un le grelot 5/8 en bonne état, chasses plastique part a 60 facile et des filas en état très moyen partent a 150 E

Nan je suis un peu pingre sur les bords !
C'est vrai qu'il est très beau

ce qu'il avait de sympa c'est son poli miroir d'origine, état quasi neuf, maintenant j'espère qu'il est tombé entre de bonne mains et qu'il ne va pas être massacré...

On faisait du poli miroir à cette époque Charlie?
Il me semblait que tu décriais les adeptes du poli miroir sur les "anciens" en disant qu'ils ne l'étaient pas d'origine.

Maintenant, celui-ci est peut-être d'un age qui fait que, et du coup, ce serait sympa de faire un post là dessus, avec historique et tout qui va bien

Suis sur que tu vas nous faire ça au petits oignions, et il trouvera facilement sa place en post-it... si tu t'appliques

Il est pas si vieux vers 1880, on appelait ce poli " poli anglais"...car les anglais le faisait grâce au crocus (ou rouge d’Angleterre) dès le début du XIX.

Je ferai un historique de la maison Malingre à part...

ça j'aime, quand notre Charlie met la main à la pâte Nous faire partager ta culture coupechoutesque est toujours un plaisir pour moi

L'usage du "poli anglais" même s'il était plutôt rare, remonte à la première moitié du 19ème. C'est un Irlandais, William Leiwelles CARTER, qui, en installant en  1819 une fabrique de coutellerie et d'instruments de chirurgie au 24 rue de l'Odéon à PARIS, répandit l'usage de l'oxyde de fer dans le polissage du métal.
Extrait de " Les artisans illustres"  par Édouard Foucaud - 1841
" Nous citerons maintenant un artiste étranger à qui la fabrication française des instruments de chirurgie est redevable de plusieurs procédés d‘amélioration.
M. Carter (William-Leiwelles), natif de Dublin, capitale de l'Irlande, se fit remarquer comme habile ouvrier pendant un séjour de plusieurs années qu'il fit à Londres.
Il était attaché à cette époque à l'une des premières fabriques de cette ville.
Au commencement de 1816 , sa réputation comme fabricant d’instruments de chirurgie s’était déjà répandue sur le continent. L’empereur de Russie, Alexandre, désirant enrichir ses états de cette branche d‘industrie, jeta les yeux sur M. Carter comme étant l'homme le plus capable de
réaliser son projet. Il lui fit faire des offres à ce sujet par le comte Orloff. Il s’agissait d’établir une grande fabrique  à l'instar de celle de Sheffield; l'emplacement était désigné; un capital considérable devait être mis à la disposition de l'artiste. Mais sur ces entrefaites, M. Carter ayant été honoré des fonctions d'inspecteur des instruments de chirurgie de l'armée de Sa Majesté Britannique, crut devoir accepter ce poste de haute confiance, et le remplit avec distinction jusqu'au moment  où il quitta l'Angleterre pour venir s'établir en France.
Ce fut en 1819 qu'il fonda à Paris une fabrique d'instruments de chirurgie  et de coutellerie. A cette époque, le poli merveilleux dont l'acier était susceptible était presque entièrement inconnu en France. M. Carter montra tout le parti qu'on pouvait tirer de l'oxide de fer pour obtenir ce résultat et il fournit à tous ses confrères la matière dont ils avaient besoin pour cette opération. Depuis ce temps, il a continué ce genre de fournitures ; et les registres des messageries royales peuvent constater que, dans le courant d'une seule année, il a expédié plus de 400 kil. d’oxide de fer dans les départements, quantité plus que suffisante pour l’usage de tous les couteliers de France.
On doit à M. Carter plusieurs inventions et perfectionnements dans la fabrication des instruments de chirurgie, et des appareils orthopédiques pour remédier aux difformités du corps. Il a imaginé et exécuté avec succès des instruments pour l'horticulture, entre autres le sécateur pour la taille des plantes. On fait usage aujourd’hui de cet instrument dans plusieurs opérations chirurgicales. Il a inventé pour saigner  les animaux un instrument fort ingénieux qu’il nomme l’universel perforateur. On s’en sert particulièrement avec  succès pour les animaux susceptibles d’entrer en furie, tels que chevaux ombrageux, taureaux , etc., etc. L’opération se fait avec promptitude, netteté, précision, sans aucun danger, ni pour l’opérateur, ni pour l’animal. L‘application de cet instrument est aussi d’une grande utilité dans" certaines opérations chirurgicales.
Enfin, pendant plusieurs années, M. Carter a été le fournisseur général des instruments de chirurgie destinés au Service de la marine et des colonies."

Pour cette enchère : j'ai vu Malingre j'ai forcément pensé à Charlie ...va savoir, si bien que j'ai meme pas pris la peine d'ouvrir l'annonce , j'aurai du .

un Koh I Noor est en vente en cas ou , il est dans un bonne état aussi . pas pareil que celui ci mais en bonne état .

pareille que Chewbacca concernant notre camarade Charlie, on peu rajouter Ferdi aussi ...

Kohinoor c'est bien mais c'est pas Malaingre, c'est plutôt du "rasoir populaire" à pas cher à l'époque.