Tout ca me rapporte a un souvenir d'enfance.
Une chose bien gravé dans un des deux hémisphères de mon cerveau.
J'aurais du filmer mon grd père lors de ses récit..J'y avais penser a une époque....Mais penser ne suffit pas .Il faut faire.
Mon grand père était un homme que je pouvait qualifier en erreur de terme ,'d"ethnique".
Et relater ce que je vais dire maintenant est une chose compliquer. Car il va falloir raccourcir sous peine d'y passer la journée.
Comment emmener le sujet?
Mon grand père s'occupait de la pseudo formation d'un régiment de tirailleur sénégalais.Mais il était mal vue a l'époque qu'un "blanc" sympathise avec des "noirs"
(le France était telle raciste a cette époque?......)même si ils étaient les enfants de la patrie vaste débat ou je ne m égarerai pas.
Une phrase de mon grand père était
"Quand les gradés arriver. Les sénégalais me cachait sous la table ou me mettait au milieu d'eux.Be oui c'était mal vu qu'un blanc reste avec les noirs"
Après on pense ce que l'on veux de la France de cette époque.
Il me disait aussi ses phrases
"Dans le lot il y a avait un Soudanais?Ils s'appelait Brahima Coulibali .Il devait avoir pas loin de 40 ans et il était toujours deuxième classe.Il sortait son "coupe-coupe" comme il disait. Et ce mettait a pleurer.Le manche branlait avec la lame.(c'est les mot de mon grand-père)
Un jour je lui est demander "Brahima pourquoi tu pleur quand tu sort ton couteau?
Il ma dit ceci.
-"Tu vois Néness A monté Cassino.Je suis monter avec ce coupe-coupe ..Quand je suis arriver au mitrailleuse allemande j'avais des copains a moi ils étaient couper en quatre."
Tu vois ... on les as envoyé comme ca juste avec leur couteaux et ils ont tuer des Allemands comme ca...Ils ont fais un carnage, y a rien de pire que de tuer au couteau"
Le devoir de mémoire n'a certainement pas lieu d'être ici ...Surement même....Mais bon.
J"ai de part mon ancien job rencontrer des hommes charger de faire le ménage en Afrique et croyez moi ses types ne prennent pas des vidéos de leurs couteaux...Et quand il s'y repensent aussi costaud soient t'ils...Les yeux ce farde ou la voix tremble, ou alors la négation total s'installe.