Au fait , il lui arrive quoi au blaireau (l'animal) ?

Valentin75 a écrit:

J'ai toujours eu du mal à comprendre qu'on puisse traiter les animaux de façon si inhumaine....

Pour rappel, il n'y a pas tout à fait 30 ans, en France, l'immense majorité des médecins étaient d'accord pour dire que les bébés (humains j'entends, oui, oui...) ne ressentaient pas la douleur puisque leur système nerveux était sensé être immature !
On opérait donc les bébés à vif, sans anesthésie...
 

Et tout le monde trouvait ça normal !

Question de point de vue...
(J'ai appris à la campagne à saigner, dépouiller, vider et découper poulets, lapins, chèvres et moutons quand j'étais petit. Dans cet ordre !)

nicorinne a écrit:

Je situerais la viande entre le lièvre et le marcassin au niveau texture, le goût quand a lui était plutôt fade, la bonne marinade était la bienvenue!

Mon grand père m'a dit que ça avait le goût de mouton. Tu me confirmes?  

Tu sais à l'époque je devais avoir 7 ou 9 ans, mes souvenirs organoleptique m'ont comme qui dirais un peu lâché, je n'ai pas souvenir d'un goût fort, peut être était ce la marinade, peut être était-ce un jeune spécimen ?

Ca me donnerai presque envie d'en redouter un, mais ces bêtes la sont assez discrètes, généralement quand on les vois c'est qu'elles sont raides en bord de chaussée.

Ben en attendant de trouver du blaireau tu pourrais essayer le chat ou le rat. Ma grand mère y avait eu recours pendant la première guerre et ça ne m'étonnerais pas que ton grand-père ait fait de même.
Comme les humains le rat des champs ne bouffe pas de la m.., ce n’est pas le cas du rat des villes.  

nicorinne a écrit:

  Pourquoi pas. Je verrais  bien la barquette de blaireau trôner dans un bac entre le camembert Président et le flamby 

juste a cote de lasagnes

El Bretón Andaluz a écrit:

Ben en attendant de trouver du blaireau tu pourrais essayer le chat ou le rat. Ma grand mère y avait eu recours pendant la première guerre et ça ne m'étonnerais pas que ton grand-père ait fait de même.
Comme les humains le rat des champs ne bouffe pas de la m..,  ce n’est pas le cas  du rat des villes.  

 Effectivement mon grand père appelait ça en Alsacien des "Dach Haas" autrement dit des lièvres des toits. A la guerre comme a la guerre nous dit l'adage, au menu il y a vais des chats, des ragondins, des corbacs.

Je me limite aux poulets et au cochon ça irra pour l'instant, mais ne sachant pas comment notre avenir sera fait, peut être y auront nous droit ?????