Des fois c'est bien des fois...moins

Jeune néophyte que je suis, j'utilise ce merveilleux CC depuis un mois à peu près, j'ai compris deux choses aujourd'hui:

D'une part la citation de rem.44

"Les premières coupures sont les plus douces, elles n' ont pas encore le goût amer de l' expérience."

Ah là oui, depuis un ou deux rasage j'arrive quasi au BBS et la c'est en toute confiance que j'approche ma lame de ma joue droite et PAF!!
Une belle encoche, ah là c'est sûr, il manque de la peau.


C'est pô grâve j'suis un warrior je continue.

Deuxième chose, j'utilise toujours la crème nivéa, no soucis.

Bah en fait quand il n'y a pas assez d'eau, ça sèche, ça tire et ça colle à la lame.

Comme quoi y en a un qui dit "c'est en forgeant que l'on devient..."

Au final beaucoup de plaisir car peau toute douce, bien rasée ...et puis un ptit côté gueule cassée ça va plaire à ma femme.
:.clin.:

Donc une coupure pour te faire plaindre par te femme aimante, et une peau toute douce.

Que du bonheur .

Ahhhh, les premières coupures ....

Leçon du jour : une lame qui s'arrête, c'est une lame qui coupe .
Une lame en mouvement, c'est une lame qui rase .

Conclusion : poser la lame le plus légèrement possible, et la maintenir immobile le moins longtemps possible.

Pour la crème qui sèche, il faut ruser : en savonnant le visage par moitié, on réduit le temps d'attente de moitié, et la mousse reste humide !

C'est le métier qui rentre.

C'est arrivé à plus d'un.

Et oui : se raser d'un trait avec fluidité et souplesse...ça passe mieux.

Sinon au début, pareil on fait l'apprentissage des dosages de flotte dans le savon. Suivant le produit, c'est plus ou moins gourmand en eau. Et evidemment, on met un peu plus de temps à se raser : ce sont les débuts. Hof, et puis même après on peut aimer prendre son temps : dolce vita, plaisir...

Bienvenue au CCC

Aaaaah Albator...

C'est marrant, mais j'ai plus tendance à me couper quand j'ai un nouveau rasoir.

Spécialement mon Fila 13 avec lequel je me suis coupé trois fois en deux rasage, la troisième étant au doigt quand je l'essuyait